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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 11:24

Simplement,

Tel le

Rayon de soleil

Qui s’éclaircit,

Je te lis

Tout tendrement

Simplement.

Comme un

Levé de soleil

Tu apparais,

En une haie

Teintée de couleur.

Et dans ce ciel

Qui te fais peur,

Entre douceur et miel

Tu t’ensorcelles

Et devient immortelle.

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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 12:24
Partir, et ne plus revenir
Laisser évanouir ce désir
Oublier les rires et les souvenirs
Ravir tous ses instants de plaisir.

Les pensées ne sont que confuses en ces moments de tristesse
L’âme se noie pas à pas dans cette mélancolie sans aucune allégresse
La vie s’échappe, le temps passe et les envies sont en détresse
Un amour sans retour, une hirondelle sans ailes et l’espoir sans promesse

Ce parcours si lointain et incertain n’est qu’un reflet d’une chanson sans fin
Ses chemins jalonnés de douceur et de parfums ne sont que rêves et refrains
S’accrocher ou ne plus aimer, s’agripper et espérer, l’avenir est incertain
Tendre la main, attendre le soulèvement d’un changement fut il très lointain.

Telle une musique rythmée
Une saveur mystifiée
Ou une couleur grisée
La route restera à jamais tracer
Dans cette mémoire brisée.
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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 12:21
Ma mémoire se muse sous une herbe d’auvent,
Basique instinct mélancolique d’autant.
Le cœur vacille et tourbillonne dans le temps,
Laissant ainsi, les sentiments s’éparpillés par le vent.

Je suis la vie, l’amour, l’aube d’un moment,
Tournoyant sans cesse, en attente d’un mouvement.
Aveuglé par l’esprit, vivre ce précieux présent,
Car l’avenir n’est qu’un reflet et tout se lit à cet instant.

Mon âme s’est envolée sous un soleil éclatant,
Emplie d’une vie de joie et de tristesse d’avant.
Je suis ce qui n’est plus et redevient cette enfant,
Car le temps à cet instant n’est qu’un chemin sans fin.
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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 12:16
Oh ! Virtuose absolu
Accepte la passion de mon amour
Car ma vie n’est que saugrenue
En ces temps de troubadour

Écoute mes louanges éperdues
Secouant toutes les étoiles du ciel
Mon cœur, mon corps est à nu
Et je ne puis respirer sans tes appels

Oh ! Apothéose charnu
Observe ce désir inconscient de mon être
Car mon âme s’est corrompue
Afin que ta volonté devienne mon maître

Sent l’odeur de mon ombre abattu
Planant sans cesse autour de ton illusion
Mes rêves n’ont plus aucune vertu
Et je ne puis vivre sans croire à notre fusion
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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 12:26

Plume d'amour

 

 

Je m'envole de plus en plus souvent dans les cieux, emmitouflé dans les nuages, je réfléchis.
J'esquisse tant bien que mal le futur sur le tableau de mon imagination, avec en guise de pinceaux, mes simples ambitions.

Parce que parfois j'ai besoin d'écrire et de raconter.
Parce que bien souvent je dois me dévoiler.

De partir seul, loin de mon monde m'a fait découvrir mes priorités. Je ne suis plus ficelé dans les chaînes glaciales de l'amour, mais dans des draps de soie. Celle qui encense mes soirées, pourrait-elle aussi encenser ma vie?

A ses cotés, je peux faire table rase. Laisser tomber mon passé et écrire mon futur avec une plume que j'aime. Les mains jointes, écrire une histoire commune, qui, pourquoi pas, se finirait bien?

A la lueur de la bougie, j'entrevois sa peau, ses yeux, laissant ma plume écrire et entrouvrir cette amour.....

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 11:41

Dans cet univers peuplés d’âmes et de corps,
J’embrase les coutumes de mon ancien décor.

Dans ce labyrinthe rythmé de sentier perdu,
J’accumule les sens de mes futures vertus.

Dans ce paysage ombragé de vision déluré,
J’apprivoise les désirs de mes rêves enflammés.

Dans ce confort habituel de solitude réel,
J’appréhende les défauts de ce monde cruel.

Dans ce miroir étincelant de lumière abstraite,
J’ensorcèle ce monde de couleurs parfaite.

Dans cette érudite parsemée d’ombre hybride,
J’enfile la panoplie de ce cortex apatride.

Dans ce couloir sombre d’amour aveuglé,
J’acquiesce la volonté de ce cœur enflammé.


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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 11:34

Enfreindre et résister,

Subir et se rebeller

Il est sur que pour certains,
La question se pose en vain,


J’ai fait le deuil des mots d’amour,
Car l’espoir s’est dissipé jour après jours

Jeté au feu tous mes désirs,
Dans le grimoire des souvenirs

 

Frustrations, insatisfactions

Je ne ressens  plus les vibrations

Cette brise parfumée, cette lueur étincelante

Qui jadis, éclairait et faisait frémir mon antre.

 

Destiné aveuglante, je parcours mon chemin

Sans apercevoir un signe d’un changement certain.

l’espoir d’une fleur sans soleil,

Ou d’une hirondelle sans ailes.

 

Je ne puis vivre  avec un cœur asséché

Sans donner à mon âme cette soif d’aimer.

Que resteras t il de ma vie si austère,

Rien si ce n’est d’aller en quête d’un paradis, d’une autre terre.

 

 

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 11:29

Dans l’ombre d’une mélancolie éphémère,

Les sens du plaisir planent sur un air nostalgique.

Regard étroit, le temps tourbillonne dans cette atmosphère,

Les souvenirs apparaissent, cet instant paraît magique.

 

Rêves du moment, les désirs sont immenses,

Le cœur scintille du à la beauté de cette nonchalance.

Les pensées se croisent telle une danse,

Et la chaleur de l’oublie se fait de plus en plus dense.

 

Dans l’ombre de ce doux ensoleillement éternel,

La vie se transforme en rêve palpable.

La respiration s’illumine d’émotion sensuelle,

Créant un décor de couleurs immuables.

 

Découvertes somptueuses d’une mixité d’envie,

Le silence s’émeut dans un sourire naturel.

Une brise majestueuse éclaircie les âmes de l’oublie,

Et permet ainsi le fleurissement d’un monde réel.

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 11:23

Il y a tant d’étoiles, de voiles, qui se dévoilent,

Des rêves inachevés, tourmentés, une continuité

 

Tu  navigues dans ses eaux, ce ruisseau, ce radeau,

Sentant les gouttes, le doute, ta route.

 

Tu comptes tes années, enlacées, caressés,

Emportées  par le vent, le temps, cette instant.

 

Tu aimes les fêtes, les quêtes, les conquêtes,

Retraçant tes  souvenirs, ce plaisir, ce désir.

 

Tu relates  ton chemin, ses câlins, ton destin,

Et tes sens se réveillent, s’émerveillent, tu veilles.

 

Tu nourris cette envie, ta vie, à l’infinie,

Ton approche de la réalité, cette vérité, dans l’altérité.

 

Tu  penses  à  cet amour, ce parcours, ton discours.

Essayant d’en rire, guérir, et l’ensevelir.

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 11:14

Poursuivre son chemin sans laisser apparaître aucun diaphane,

Se laisser guider dans une ambiance méditative d’ombre colorée.

Nuit et jour, j’emmagasine cette source de vie, attiré par mon  arcane,

Ma conduite, épurée de voile sentimentale et archaïque, s’engouffre dans cette utopie insensée.

 

Las de cet ensemble désunis et pourvu de décor arbitral, ma route sera sans retour,

Le grondement énoncé de cette disparition se pourvoira en questionnement sans réponse.

La vérité ne serait que pur mensonge et le mensonge se portera dans une réalité sans détour,

Tel un mirage effréné, je sens mon regard bleuté se porter dans cette ultime annonce.

 

Lorsque l’aube se fera jour, la décision ouvrira sa contrée fleurie de douce pensée.

Le chant mélodieux de mon cœur illuminera les endroits sombres de mon esprit,

Les souvenirs donneront les plus beaux  fruits à ma future destinée

Ainsi, l’éloignement de cette réalité incomprise, extirpera les lacunes d’une vie sans envie.

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